L’histoire se passe dans un petit village de retraités, du sud de la France.

La municipalité décide, par tirage au sort, d’offrir un weekend à une dizaine de personnes. En respectant la parité, moitié hommes, moitié femmes.

Ils se connaissent, mais ne vivent pas ensemble.

La destination est surprenante. Une plage privée pour naturistes.

Le samedi matin, dans la cour de la mairie, chaque participant embrasse son conjoint. Ils montent dans le mini bus, et les voila partis. En route, ça chante, ça raconte des blagues. La vraie détente.

Une fois arrivé sur un campement sommaire, les retraités demandent à Guy, le chauffeur du bus, s’il veut participer à la fête. Guy est à la retraite dans trois mois. Une fois tout le monde déshabillé. Emile, propose un jeu.

-Et si on jouait à « attrapes moi si tu peux » ?

Sa proposition fait l’unanimité. Même si c’est chacun pour soi, hommes d’un côté, et femmes de l’autre, élaborent des stratégies. Guy lorgne vers Michel, le mari de Francine, qui n’est autre que sa maitresse. Il aimerait bien se taper le mari aussi.

Après un repas tiré du sac, l’aventure commence.

Emile, à quatre pattes derrière un pin parasol, aperçoit Andréa, et compte bien la surprendre. Il n’entend pas Gina, qui s’approche sans bruit derrière lui.

Cette dernière envoie sa main entre ses cuisses, et lui attrape les couilles.

Dans un réflexe, Emile se projette en avant, et fini face à terre.

D’un bond, Gina est sur lui, le retourne sur le dos, et s’assoit sur son ventre. Calmement, elle lui caresse les flans. Très chatouilleux, Emile se contorsionne dans tout les sens en riant. Vicieuse, Gina envoie une main en arrière, et lui attrape les couilles, quelle fait rouler entre ses doigts.

Tiens, c’est quoi que je tiens là, dit-elle

-Aie…aie…c’est mes œufs, gémit Emile, ahou…ahou…ne les serre pas…

-Pourquoi, t’aimes pas qu’une femme t’attrape par les couilles…et ton zob, tu sens comme je l’ai bien décalotté…tu bandes salaud, tu veux que je te branle.

-Ah, salope…bien sur que je veux…mais tu es sure…tu m’as bien décalotté.

-Mais oui, sens comme je gratte ton gland…allez, concentres-toi maintenant.

Au bout de dix minutes, Emile éjacule dans le sable, dans un « han » de bucheron.

Gina vient de marquer un point. Elle s’éloigne, non sans lui avoir serré un testicule

Un peu plus loin, Hélène est à l’affut d’une proie, quand elle se fait surprendre par derrière. C’est Antoine qui vient de la saisir par les hanches.

Ce salaud, prend un sein d’une main, tandis que l’autre main s’insinue plus bas, caresse la chatte.

Lucide, Hélène envoie une main en arrière, et saisit Antoine par les couilles.

Antoine se retire, porte ses mains entre ses jambes, saute sur place.

-Ah…ah…..crie Antoine…t’es folle…tu as serré mes glaouis…ah…ah…

-Oh désolé, dit Hélène, viens, fais voir…je vais te les masser.

Confiant, Antoine s’approche, lève ses mains. Il n’y rien de grave, c’est juste douloureux. Doucement, Hélène caresse les testicules, en regardant Antoine droit dans les yeux. A force de caresses, la queue d’Antoine se dresse.

-On t’a déjà dit que tu avais une belle paire de couilles. Plus grosses que celles de mon mari en tout cas. Les siennes sont si petites, même ta bite est plus grosse. Surtout qu’elle est bien bandée. Tu veux la mettre au chaud dans ma chatte.

D’elle-même, Hélène saisit le membre, et le glisse entre ses cuisses. Antoine laisse faire. Puis elle se met sur la pointe des pieds, jusqu’à ce que le gland soit à la hauteur de sa chatte. D’une simple poussée, la queue glisse dans l’antre chaud de son ventre.

-Oh putain, souffle-t-elle, c’est bon d’avoir une grosse queue dans la chatte…ça fait si longtemps que j’en ai pas pris une.

-C’est pas bien ce qu’on fait Hélène, on est marié.

-C’est pas grave, ils n’en sauront rien…je ne sais pas pourquoi, je sens que je vais jouir…oh oui salaud…mets moi un bon coup de queue…oui…je jouis…hou...hou…

Quand à Andréa et Marguerite, elles n’ont pas eut une chasse fructueuse. Elles errent dans la pinède, à la recherche d’une éventuelle proie, quand elles entendent des bruits provenant d’un buisson.

Andréa écarte les branches, et découvre un spectacle hallucinant.

Michel, jambes écartées, est empalé sur la bite de Guy. Michel a passé un bras autour du cou de Guy. Ce dernier lui gratte les couilles, branle sa queue décalottée, et, bizarrement, en érection.

-Qu’est-ce qu’il t’arrive Michel, demande Andréa.

-C’est ce salaud de Guy. Ca fait trois fois qu’il me trouve, trois fois qu’il m’encule.

-Et alors, tu n’aimes pas ça, reprend Marguerite.

-Tu as vu ça queue comme elle est grosse, fait remarqué Michel.

-C’est sur que comparé à la tienne, y a pas photo, sourit Andréa.

-Je comprends maintenant pourquoi sa femme se fait baiser par Guy.

-Vous êtes des salopes de dire ça…vous vous trompez, ma femme est fidèle, dit Michel. L’enfoiré…il va me faire jouir…ah…ah…ah…salaud, je jouis…je crache… secoues bien ma quéquette…

-Oh putain, souffle Guy, moi aussi…tu sens comme mes couilles se vident dans ton ventre…c’est chaud hein…ce soir, en rentrant, je vais passer baiser ta femme, devant toi. Après, tu me tailleras une bonne pipe.

Andréa et Marguerite, continue leur chemin, sans rien trouvé à se mettre sous la dent. Elles décident de rebrousser chemin. En repassant, elles voient Michel en train de sucer la bite de Guy.

Arrivé au campement, Andréa saisit Marguerite par la taille, et la soulève de terre. Elle glisse une main entre ses cuisses, attrape la chatte.

-J’ai pas pu avoir de mec, tant pis, je vais me taper une femme, dit-elle.

-Arrête, se plaint Marguerite…qu’est-ce que tu fais…

-T’as pas envie que je gratte ta petite chatte…

-Mais enfin…je ne suis pas une gouine…

-Justement, moi non plus, dit Andréa, mais on ne va pas mourir connes…on va bien se faire mouiller la chatte.

-Mais tu ne sens pas…elle est déjà toute mouillée…la salope, il y a si longtemps qu’on ne l’a pas caresser…oh oui…branles moi…mets moi un doigt au cul…vas-y…

-T’aimes ça, hein…et ton clito, tu sens comme je l’ai décalotté…

-Oh oui, je le sens…doigtes le ce salaud…il aime lui aussi…ah…je jouis…oui…oui.

Andréa, très dominatrice, joue avec Marguerite, qui n’en fini pas de jouir. Elle atteint son dernier orgasme, juste quand le reste du groupe rejoint le camp.

La petite sauterie s’achève. Les femmes regagnent le bus, en tirant les hommes par la queue. Guy, lui, tire Michel par son petit sifflet.

Sur le chemin du retour, les séances érotiques se poursuivent dans le bus.

Marguerite est assise sur Andréa, jambes écartées, en train de se faire branler la chatte, doigter le petit bouton. Puis Andréa l’oblige à se mettre à genoux, et lui bouffer la chatte. Les hommes se font gratter les couilles, se font taper des branlettes, se font sodomiser par les doigts pervers de ces femmes dominatrices. Michel taille une pipe à Guy, puis finira le trajet empalé sur sa grosse queue.

« Oh mon chéri, gémit Michel c’est bon de sentir ta grosse bite dans le cul. »

« Tu vois bien que tu aimes maintenant…comme ta femme, petit cocu. »

Tous sont unanimes. Ils ont hâte de remettre ça.